un intime du colonel Rémy
10:34
1925
{ Orne }
Agent de renseignement
Dès le début de l’Occupation, Raymond Ciroux essaie de passer en zone libre pour échapper au contrôle des Allemands, mais échoue devant la ligne de démarcation. En 1942, avec l’un de ses camarades, il brise les vitres de la caserne allemande d’Alençon. Dénoncé par un habitant de la ville, il passe 6 mois en prison à Caen.
Quand les chars de la deuxième division blindée s’apprêtent à libérer Alençon, il fait des repérages pour l’armée française et par ses informations, aide le général Leclerc à prendre la ville sans un seul coup de feu. Il s’engage par la suite au sein de cette unité et combat jusqu’en Allemagne.